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La fabrication additive ( AM ) est un terme décrivant un ensemble de technologies permettant de réaliser des objets 3D en ajoutant couche à couche de matériau. Les matériaux peuvent changer d’une technologie à l’autre. Cependant, il existe certaines fonctionnalités communes à tous les produits Addictive Manufacturing, telles que l’utilisation d’un ordinateur avec un logiciel de modélisation 3D spécial. La première chose à s'y prendre pour débuter ce cheminement est de créer un dessin CAO. ensuite, le périphérique AM lit les datas du fichier de CAO et crée une structure couche par couche à partir du support d’impression ( plastique, fluide, filaments de poudre ou même feuille de papier ). nLe terme fabrication additive est employé dans des avancées technologiques telles que le prototypage rapide ( RP ), la fabrication directe numérique ( DDM ), la fabrication par couches et l’impression 3D. Différentes solutions d’impression 3D ont été développées pour construire des structures et des éléments 3D. Certains d’entre eux sont très populaires de nos jours, d’autres ont été dominés par des concurrents. nCet article porte sur les technologies d’impression 3D suivantes ou certains peuvent les appeler types d’imprimantes 3D
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Stratification par dépôt sélectif - des couches successives de papier découpé, de métal ou de plastique sont collées ensemble pour former un objet solide. Ils peuvent aussi être utilisés pour imprimer en teinte 3D. iv. Reliant les imprimantes 3D, ces imprimantes générent des couches d’objets en amalgamant de façon sélective les granules d’une poudre très fine. Une telle liaison de matériaux granulaires peut être obtenue en appliquant un adhésif sur des couches de poudre successives ou en fondant des granules de poudre en utilisant un laser ou une autre réele origine de chaleur. Les normes ISO / ASTM 52900 introduites en décembre 2015 identifient sept technologies de conception d’impression 3D. selon aux normes ISO, ces normes seront ensuite réexaminées en 2020. Toutes les technologies d’impression 3D actuelles reposent largement sur la répartition ci-dessus. Tout comme dans la vie réelle, les imprimantes 3D réelles sont complexes à réaliser.
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Les fichiers CAO doivent être convertis dans un format compréhensible par un appareil à imprimer. Le format STL ( Standard Tessellation Language ) est couramment employé pour la stéréolithographie, ainsi que pour d’autres manipulations de fabrication additive. la pus grande partie du cheminement consiste en une figure consécutive couche par couche. Le fichier STL utilisé par la machine à imprimer doit donc contenir les informations relatives à chaque couche. nLes machines d’impression SLA ne fonctionnent pas comme les imprimantes de bureau habituelles qui extrudent une certaine quantité d’encre à la superficie. Les imprimantes 3D SLA fonctionnent avec un excès de plastique liquide qui, après un laps de temps, durcit et forme un but solide. Les pièces construites avec des imprimantes 3D de ce type ont en règle générale des surfaces lisses, mais leur résistance dépend beaucoup de la qualité de l'appareil SLA utilisée. nLe process d’impression comprend plusieurs phases. Il peut y avoir jusqu’à 10 couches par millimètre. ensuite, la machine SLA expose le plastique fluide et le laser commence à former la couche de ce billet. nUne fois que le matière plastique a durci, une plate-forme de l’imprimante tombe dans le bac d’une fraction de millimètre et le laser forme la couche suivante jusqu’à la fin de l’impression.